29.12.2025

Infidélité en Suisse, chiffres, réalités et rôle du détective privé

L’infidélité touche de nombreux couples en Suisse et suscite régulièrement débats, enquêtes et reportages.

Si le sujet est largement médiatisé, il reste pourtant difficile à appréhender avec précision. Les chiffres avancés varient fortement selon les sources, les méthodes de collecte et les définitions retenues, rendant toute estimation globale délicate.

Au-delà des statistiques, l’infidélité renvoie avant tout à des réalités humaines complexes, faites de doutes, d’interrogations persistantes, de souffrance émotionnelle et parfois de ruptures profondes. Dans ce contexte, la frontière entre intuition et certitude peut devenir floue, laissant les personnes concernées dans une situation d’incertitude difficile à vivre.

Nous vous proposons une lecture critique des chiffres relatifs à l’infidélité en Suisse, analysons les comportements qui nourrissent les soupçons et rappelons le cadre légal applicable. Nous abordons également, de manière factuelle, les circonstances dans lesquelles le recours à un détective privé peut s’envisager, dans le strict respect de la loi.

L’infidélité en Suisse : un phénomène largement évoqué, mais difficile à mesurer

Les enquêtes et sondages publiés ces dernières années présentent des résultats très variables lorsqu’il s’agit de mesurer l’infidélité en Suisse. Cette hétérogénéité s’explique par plusieurs facteurs : des méthodologies différentes, des définitions parfois floues de ce que recouvre réellement l’infidélité, et des contextes de collecte qui peuvent être plus ou moins orientés selon les objectifs poursuivis.

Des chiffres très médiatisés… à manier avec prudence

Statistiques du site Ashley Madison - 2023

Certains chiffres régulièrement relayés dans les médias suisses annoncent des taux d’infidélité particulièrement élevés, tandis que d’autres études évoquent des proportions nettement plus basses. Ces écarts importants illustrent à quel point il est difficile de mesurer objectivement un phénomène aussi intime et subjectif.

La manière dont l’infidélité est définie joue un rôle déterminant dans les réponses recueillies. Un échange de messages ambigu, une relation virtuelle ou une relation physique ne sont pas perçus de la même manière par tous les répondants. À cela s’ajoute une difficulté majeure : répondre avec une totale sincérité à des questions touchant à la vie intime reste délicat, même dans le cadre d’un sondage anonyme.

Il est donc légitime de s’interroger sur la fiabilité réelle de ces déclarations. Peut-on raisonnablement penser que toutes les personnes interrogées ont répondu avec une sincérité absolue ? Rien ne permet de l’affirmer.

D’autant plus que, dans de nombreux cas, les éléments méthodologiques essentiels — taille de l’échantillon, critères de sélection des participants, répartition par sexe, âge, orientation sexuelle ou périmètre géographique précis — ne sont tout simplement pas rendus publics. Il est dès lors impossible pour un lecteur extérieur de vérifier les conditions dans lesquelles ces sondages ont été menés ni d’en apprécier la fiabilité réelle.

Cette absence de transparence invite à la prudence. Les chiffres avancés doivent être considérés comme des indicateurs de tendances ou de perceptions plutôt que comme des données scientifiques établies, et ne sauraient, à eux seuls, refléter la réalité complexe des comportements au sein des couples.

Quand les statistiques servent aussi la communication

Une partie des chiffres les plus spectaculaires relayés dans l’espace médiatique provient de sondages commandés par des plateformes spécialisées dans les rencontres extraconjugales. Or, dans bien des cas, ni l’identité précise des organismes chargés de ces enquêtes ni les conditions exactes de leur réalisation ne sont clairement documentées.

Ashley Madison : application de rencontre extra-conjugale.

Ces acteurs ont un intérêt évident à présenter l’infidélité comme un phénomène massif et largement répandu. En diffusant des chiffres élevés, ils contribuent à banaliser ces comportements tout en légitimant leur modèle économique et leur positionnement sur le marché des relations extraconjugales.

Cette stratégie s’avère particulièrement efficace. Les résultats de ces sondages sont régulièrement repris par des médias grand public, tels que la RTS, Radio Lac ou la presse gratuite, offrant à ces plateformes une exposition médiatique considérable. Cette visibilité contribue directement à attirer de nouveaux utilisateurs, transformant l’information en levier marketing.

Dans ce contexte, certains chiffres sont mis en avant de manière récurrente — souvent sous forme de pourcentages marquants ou de classements par pays — sans que le lecteur dispose des éléments nécessaires pour en évaluer la pertinence ou la portée réelle. Ces données doivent être lues comme des arguments de communication plutôt que comme des résultats scientifiques établis.

Ainsi, bien que largement relayées, ces statistiques relèvent davantage d’opérations de visibilité que d’études sociologiques indépendantes. Elles appellent donc une lecture critique et une grande prudence dans leur interprétation.

Infidélité et adultère : une réalité humaine avant d’être un chiffre

Derrière les pourcentages et les débats médiatiques se trouvent avant tout des personnes, des couples et des histoires singulières. L’infidélité ne se résume jamais à une donnée statistique. Elle s’inscrit dans des trajectoires de vie, des relations parfois fragilisées et des contextes émotionnels complexes. C’est sans doute sur ce point que l’écart entre les chiffres et la réalité vécue est le plus marqué.

Derrière le discours, la dimension émotionnelle

La découverte d’une infidélité provoque souvent un choc émotionnel majeur. Colère, tristesse, incompréhension et perte de confiance s’entremêlent, parfois sur une longue période. Pour la personne trompée, c’est souvent toute la représentation du couple qui vacille, avec un sentiment profond de remise en question.

Dans le cadre de notre activité chez AGOP, un mot revient fréquemment dans la bouche des personnes qui nous contactent : la trahison. Trahison de sa femme, de son mari, de son conjoint. Ce terme illustre la rupture brutale du contrat de confiance implicite qui fonde la relation de couple, bien au-delà de la seule dimension sexuelle.

Du côté des personnes infidèles, la situation est rarement vécue de manière plus simple. Elles peuvent éprouver des émotions contradictoires, mêlant culpabilité, honte, soulagement temporaire et justification personnelle. Contrairement à une idée répandue, l’infidélité ne se résume pas à une recherche de plaisir sexuel. Elle s’inscrit souvent dans des fragilités relationnelles préexistantes.

Parmi les éléments déclencheurs fréquemment évoqués, on retrouve notamment :

  • une dégradation progressive de la communication au sein du couple ;
  • un sentiment de négligence ou d’invisibilité émotionnelle ;
  • des périodes de transition ou de crise (naissance, deuil, maladie, surcharge professionnelle) ;
  • une rupture durable de l’intimité, émotionnelle ou physique ;
  • un besoin de revalorisation personnelle, notamment après une baisse d’estime de soi.

L’âge constitue également un facteur déclencheur régulièrement observé. À l’approche de certaines étapes de vie — quarantaine, cinquantaine ou parfois plus tard — certaines personnes ressentent le besoin de se rassurer sur leur pouvoir de séduction. Le sentiment de ne plus plaire, la peur du vieillissement ou de l’effacement social peuvent nourrir une quête de validation extérieure.

Dans ce contexte, une phase de séduction peut s’installer, parfois de manière anodine au départ, avant de basculer progressivement vers une relation extraconjugale. L’infidélité devient alors moins un acte impulsif qu’une tentative de réassurance identitaire, visant à confirmer que l’on est toujours désiré, attirant ou capable de susciter l’intérêt d’autrui.

Ces facteurs n’excusent en rien l’infidélité, mais ils permettent d’en comprendre les mécanismes. Ils rappellent surtout que l’adultère s’inscrit rarement dans une logique simpliste ou purement opportuniste. Il est souvent le symptôme visible de déséquilibres plus profonds au sein de la relation.

Adultère ponctuel ou relation parallèle prolongée

Toutes les formes d’infidélité ne se ressemblent pas. Un écart ponctuel, survenu dans un contexte particulier, n’a pas les mêmes conséquences qu’une relation parallèle installée dans la durée.

Une relation extraconjugale prolongée implique généralement un investissement émotionnel plus important, une organisation du mensonge et une double vie. La blessure ressentie par le partenaire est alors souvent plus profonde, car la trahison s’inscrit dans le temps.

Quand les soupçons apparaissent dans le couple

Les soupçons d’infidélité émergent rarement sans raison. Ils s’installent le plus souvent de manière progressive, à la suite de changements répétés dans le comportement du partenaire. Pris isolément, ces éléments peuvent paraître anodins. Accumulés dans le temps, ils peuvent toutefois créer un malaise durable et nourrir le doute.

Les changements de comportement les plus fréquemment observés

Certains signaux reviennent de manière récurrente lorsque des soupçons apparaissent au sein du couple. Parmi les comportements les plus souvent évoqués, on retrouve notamment :

  • des changements d’horaires ou d’emplois du temps sans explication claire, ou difficilement vérifiables ;
  • une augmentation de l’usage du téléphone ou des réseaux sociaux, souvent de manière plus discrète ou protégée ;
  • un verrouillage systématique de certains appareils ou comptes numériques, accompagné de mots de passe modifiés ;
  • des réactions défensives, évasives ou nerveuses face à des questions pourtant simples ;
  • une prise de distance émotionnelle, avec une diminution de l’attention portée à la vie de couple ;
  • des dépenses inhabituelles ou non justifiées, parfois associées à des retraits d’espèces ;
  • une modification soudaine de l’apparence ou de l’hygiène, sans raison apparente ;
  • une multiplication des déplacements professionnels, des absences prolongées ou des réunions imprévues ;
  • un changement notable dans la vie intime, qu’il s’agisse d’un désintérêt marqué ou, au contraire, de comportements inhabituels sans explication.

Ces éléments ne constituent jamais des preuves en soi. Ils doivent être interprétés avec prudence et replacés dans leur contexte. Toutefois, leur accumulation peut alimenter un sentiment d’incohérence et renforcer un malaise persistant au sein du couple, à l’origine de nombreuses interrogations.

De la suspicion à la recherche de certitudes

Lorsque le doute s’installe durablement au sein d’un couple, l’incertitude devient souvent plus difficile à supporter que la vérité elle-même. Les interrogations répétées, l’absence de réponses claires et les hypothèses permanentes peuvent générer une anxiété profonde et altérer durablement l’équilibre émotionnel.

La notion de “levée de doute”

La levée de doute consiste à vérifier de manière objective si des soupçons sont fondés ou non. Elle permet de sortir d’un état d’anxiété permanente et d’éviter les interprétations hâtives, souvent nourries par l’émotion plutôt que par les faits.

Ce n’est pas un hasard si, au sein de notre agence, nous résumons cette démarche par une formule simple : des doutes, des réponses, des preuves. Cette approche illustre la logique même de la levée de doute : partir d’un questionnement légitime, y apporter des éléments concrets, et s’appuyer sur des faits vérifiables plutôt que sur des suppositions.

Cette démarche vise avant tout à distinguer une intuition d’une réalité avérée. Elle permet, quelle que soit l’issue, de prendre des décisions éclairées pour la suite de la relation, sans rester prisonnier d’un climat d’incertitude.

Le rôle de l’observation et de la documentation

L’observation professionnelle repose sur des méthodes légales et discrètes, telles que la filature ou la surveillance ponctuelle. Elle a pour objectif de documenter des faits précis à l’aide de rapports détaillés, de photographies ou de séquences vidéo, dans le strict respect du cadre légal.

Ces éléments factuels peuvent confirmer ou infirmer les soupçons. Ils constituent une base objective permettant d’alimenter une réflexion personnelle apaisée et, dans certains cas, de soutenir des démarches juridiques ultérieures lorsque les enjeux le justifient.

Espionner son conjoint : une fausse solution aux conséquences réelles

Face à des soupçons d’infidélité, certaines personnes choisissent de surveiller elles-mêmes leur partenaire à l’aide d’outils technologiques accessibles au grand public. Cette démarche peut sembler, à première vue, plus simple ou moins coûteuse qu’un recours à un détective privé. Nous la déconseillons toutefois fortement.

Si ces pratiques peuvent paraître anodines en raison de leur facilité d’accès, elles exposent en réalité leurs auteurs à des risques juridiques importants. Certes, elles peuvent sembler moins onéreuses que les services d’un détective privé spécialisé dans les enquêtes d’infidélité ou d’adultère, mais cette économie apparente peut entraîner de lourdes conséquences. Dans certains cas que nous avons déjà constatés, ce type de comportement a conduit la personne fautive devant les tribunaux pénaux, avec les sanctions qui en découlent.

Outils accessibles au grand public

mSpy : application d’espionnage, usage sans consentement strictement illégal en Suisse.

Applications espionnes, balises GPS, objets connectés ou comptes numériques partagés permettent aujourd’hui de suivre les déplacements, les communications ou certaines habitudes d’une personne. Leur démocratisation donne parfois l’illusion d’un usage toléré, voire légal.

Or, l’utilisation de ces outils sans le consentement de la personne concernée constitue une atteinte grave à la sphère privée. Ces pratiques peuvent rapidement dépasser le cadre du soupçon légitime et s’apparenter à une surveillance intrusive, susceptible d’engager la responsabilité pénale de leur auteur.

Le cadre légal suisse : une ligne rouge claire

En Suisse, espionner son conjoint sans son accord constitue une atteinte à la vie privée et est strictement interdit par la loi. Les preuves obtenues de cette manière sont non seulement irrecevables devant un tribunal, mais leur collecte peut également entraîner des poursuites pénales.

La distinction entre une enquête menée par un détective privé autorisé et un espionnage personnel est donc essentielle. Un détective privé agit dans un cadre légal strict, avec des méthodes encadrées et des obligations déontologiques. À l’inverse, une initiative individuelle, même motivée par des soupçons d’infidélité ou une souffrance personnelle, peut placer son auteur en situation d’illégalité.

Quand le recours à un détective privé peut s’envisager

Faire appel à un détective privé ne constitue ni une solution automatique ni une démarche anodine. Cette option doit répondre à des besoins précis et s’inscrire strictement dans le cadre légal. Elle intervient généralement lorsque les soupçons d’infidélité persistent et que la personne concernée souhaite obtenir des éléments objectifs, sans s’exposer à des risques juridiques.

Un cadre strictement légal

L’exercice de la profession de détective privé fait l’objet d’une réglementation spécifique au sein de la Confédération suisse dans certains cantons, notamment Genève, Neuchâtel et le Tessin. Dans ces cantons, l’activité est soumise à autorisation et à une inscription sur un registre officiel tenu par les autorités compétentes.

À titre d’exemple, dans le canton de Genève, les détectives privés doivent figurer sur le registre cantonal dédié, accessible publiquement. Il est donc essentiel, avant toute démarche, de vérifier que le détective privé mandaté dispose bien des autorisations requises et exerce dans le respect de la réglementation en vigueur.

Bien que l’activité de détective privé ne soit pas encadrée de manière uniforme dans l’ensemble des cantons suisses, le respect du droit fédéral demeure impératif. Les méthodes employées doivent notamment garantir la protection de la vie privée et des droits fondamentaux. Toute preuve obtenue de manière illégale perd sa valeur juridique et, par effet domino, ne pourra être utilisée ni à des fins personnelles ni dans un cadre judiciaire.

Dans quels cas cette démarche est-elle pertinente

Le recours à un détective privé peut s’envisager lorsque les soupçons d’infidélité s’installent durablement et que des enjeux personnels, familiaux ou juridiques importants sont en jeu. Cette démarche permet d’obtenir des éléments factuels et vérifiables afin de prendre des décisions éclairées, sans franchir les limites imposées par la loi.

Dans le cadre d’une enquête menée par un détective privé, les constats reposent sur des observations objectives et documentées. Chez AGOP, par exemple, les investigations donnent lieu à des rapports détaillés et horodatés, retraçant chronologiquement les surveillances ou filatures effectuées.

Ces rapports peuvent être étayés par des éléments visuels issus des constatations réalisées sur le terrain, tels que :

  • des gestes de proximité ou de complicité (main dans la main, enlacements) ;
  • des marques d’affection explicites (baisers sur la bouche) ;
  • des attitudes révélant une relation intime ou une familiarité incompatible avec une relation strictement professionnelle ou amicale ;
  • des rencontres répétées dans des lieux privés ou discrets.

Ces éléments, collectés dans le respect du cadre légal, permettent de confirmer ou d’infirmer des soupçons d’infidélité. Ils offrent une base objective sur laquelle la personne concernée peut s’appuyer pour envisager la suite, qu’il s’agisse d’une décision personnelle ou de démarches juridiques adaptées.

Tarifs d’un détective privé pour infidélité en Suisse : ce qu’il faut savoir

Lorsqu’une enquête pour infidélité est envisagée, la question du coût d’un détective privé en Suisse se pose naturellement. Les tarifs varient en fonction de plusieurs critères, liés à la nature même de ce type de mission.

Le prix d’une enquête dépend notamment :

  • de la complexité de la situation à documenter,
  • de la durée des surveillances ou filatures nécessaires,
  • des moyens humains et techniques à déployer,
  • et de l’expérience du détective privé mandaté.

En pratique, les enquêtes pour infidélité sont le plus souvent facturées sur une base horaire ou journalière. En Suisse, il convient généralement de prévoir un tarif horaire minimal d’environ CHF 100, susceptible d’évoluer en fonction des exigences spécifiques de la mission.

Lorsqu’une surveillance ou une filature est mise en œuvre, le budget doit être apprécié de manière globale. Une journée d’enquête représente en pratique un coût minimal d’environ CHF 1’000, ce montant pouvant augmenter en fonction du nombre d’agents mobilisés, de la durée de l’intervention, des contraintes logistiques ou des ajustements opérationnels en temps réel.

Avant toute intervention, un entretien préalable permet de définir les objectifs, d’évaluer la faisabilité et d’estimer les coûts de manière transparente. Cette étape est essentielle pour éviter toute mauvaise surprise et s’assurer que la démarche reste proportionnée aux enjeux.

Cette phase débouche obligatoirement sur la signature d’un mandat écrit, qui encadre légalement la mission du détective privé. Aucune investigation ne doit débuter sans ce mandat formalisé, lequel fixe les limites de l’intervention, protège les intérêts du client et garantit le respect du cadre légal.

Ces étapes sont essentielles pour éviter toute mauvaise surprise, prévenir les dérives juridiques et s’assurer que la démarche reste proportionnée aux enjeux personnels ou familiaux en cause.

Faire appel à un détective privé en cas de soupçon d’infidélité

Lorsque le doute devient trop lourd à porter et que les interrogations persistent, le recours à un détective privé peut constituer une démarche réfléchie et encadrée. AGOP, agence d’investigation privée basée à Genève, accompagne les particuliers confrontés à des soupçons d’infidélité avec une approche rigoureuse, discrète et strictement conforme au cadre légal suisse.

Nos enquêtes visent avant tout à apporter des éléments factuels et objectifs, permettant de lever un doute, d’éclairer une situation personnelle ou de préparer, le cas échéant, des décisions importantes. Chaque mission est menée dans le respect de la vie privée, avec des méthodes professionnelles reconnues et une confidentialité absolue.

Si vous ressentez le besoin d’obtenir des réponses claires, sans vous exposer à des risques juridiques ou émotionnels supplémentaires, nous vous invitons à prendre contact avec notre agence pour un échange confidentiel et sans engagement.

Infidélité : enquête sur le business caché des adultères | RTS    

Questions fréquentes

Existe-t-il des chiffres fiables sur l’infidélité en Suisse ?

Il n’existe à ce jour aucune statistique officielle, exhaustive et consensuelle permettant de mesurer précisément l’infidélité en Suisse. Les chiffres généralement relayés dans l’espace médiatique proviennent principalement de sondages privés, souvent commandés par des plateformes spécialisées dans les rencontres extraconjugales, telles qu’Ashley Madison.

Faute d’informations transparentes sur la méthodologie employée — taille de l’échantillon, durée de l’étude, répartition géographique ou critères de sélection — ces données doivent être interprétées avec retenue. Elles constituent davantage des indicateurs de tendance ou des outils de communication que de véritables données scientifiques établies.

L’infidélité a-t-elle une incidence juridique en Suisse ?

La Suisse applique le principe du divorce sans faute. L’infidélité ne constitue donc pas un motif juridique de divorce en tant que tel ni un élément déterminant dans l’attribution des torts.

En revanche, certains comportements concrets liés à une relation extraconjugale peuvent être pris en compte de manière indirecte par le juge, notamment s’ils ont un impact réel sur la situation financière du couple, l’organisation familiale ou le bien-être des enfants.

Ce ne sont donc pas les faits d’infidélité eux-mêmes qui sont évalués, mais leurs conséquences objectives dans le cadre des mesures accessoires au divorce.

Dans quels cas le recours à un détective privé est-il envisageable en cas d’infidélité en Suisse ?

Le recours à un détective privé peut être envisagé lorsque des soupçons d’infidélité persistent et qu’il devient nécessaire d’obtenir des éléments factuels et vérifiables afin de prendre des décisions éclairées, qu’elles soient d’ordre personnel ou juridique. Cette démarche doit impérativement s’inscrire dans le respect strict du cadre légal suisse.

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